Non, je ne verrai pas la déplorable fête Où s'envire, en espoir d'un brillant avenir, Ce peuple condamné, que rien, hélas, n'arrête Sur la pente du gouffre. O cruel souvenir! Gloire de la patrie! Et voir s'évanouir Du bonheur le plus pur la séduisante image!
O Chorèbe! ô Priam! Vains efforts de courage, Des pleurs d'angoisse inondent mon visage!